AVANT SAISON - Episode 2 - [Les Mémoire d'Altor - La mort d'une famille]

En rentrant chez vous, vous avez souvenir de ce mystérieux dossier trouvés dans les poubelles. Très vite, vous chevauchez une chaise et allumez votre PC cherchant sur votre moteur de recherche favori "Dueeeling" les mots clés "Altor Disparition Domino City" et tombez, sans même le faire exprès, sur un document de la bibliothèque. Turlupinné par cet histoire vous lisez quelques lignes et vous vous apercevez que c'est écrit par Altor lui même !

Document bibliothécaire a écrit:

18 Avril 2106 - Cher journal. Aujourd'hui à l'école on à entendu un énorme bruit venant du quartier du Satellite. Le sol s'est subbitement mis à trembler les profs, affolés nous ont isolés dans les sous-sol du collège. Effrayé par la crainte de penser que ma mère se trouvais toujours au Satellite, mes pensées étaient figées sur cet images. Mon frère et sa classe nous avait peu après rejoint. Je me souviens de la peur sur son visage d'une tel catastrophe. Une fois le tremblement terminé, le proviseur à suspendu les cours jusqu'à demain, c'est alors que nous avons prit le chemin du bar. Lorsque nous sommes rentré au bar, nous n'avions pas vu l'ombre d'un seul client , ni même celle de notre pere d'ailleurs : tout étais fermé. Peut-être à cause de ce tremblement de terre. Une chose m'intriguais : les rues étaient aussi déserte que le bar, on aurait dit que Domino City avait perdu toute trace de vie. "Vite rentrons" ais-je annoncé à Vaan. En rentrant dans l'appartement, nous avons croisés des agents de la Sécurité de la Kaiba Corp nous disant de rentrer rapidement chez nous. Des tonnes de voitures de la Kaiba Corp roulaient sur la national en direction du Satéllite. Nous sommes alors rentrés à la maison. Notre père, absent lui aussi, nous avait laissé un mot : "Mes enfants, je m'en vais au Satellite retrouver votre mère. Elle avait quelque chose d'important à nous annoncer à propos d'énergie plusiflive ou un truc comme ça... Altor, occupe toi de ton petit frère, je ne sais pas quand nous allons rentrer." Nous les avons attendus toute la soirée sans succès. Alors que j'écris ces lignes, il est actuellement plus de minuit et je vais bientôt aller me coucher. Vaan s'est endormi sur le canapé. Je n'ose pas le réveiller tellement il est mignon quand il dort... Voilà une journée mouvementée de terminé.


20 Avril 2106 - Cher journal, la raison pour laquel je n'ai pas écrit de lignes hier soir est parceque le chagrin m'avais emporté. Voyez-vous, hier matin en nous reveillant, nous n'avons remarqué que ni notre père ni notre mère étais rentré du Satellite. j'ai tenté d'appeler à la Kaiba Corp, vu que notre mère travaille là haut mais les lignes de la société sont blindés d'appels. Ce n'est pas plus tard qu'en début d'après midi que nous avons entendu la sonnette. Demandant qui étais derrière la porte, une voix grave nous dit "Je suis Agent de la Sécurité". C'est alors que je lui est demandé ce qu'il voulait. La voix répondit que notre père étais à l'hôpital de Domino City. J'ai alors ouvert et l'agent de sécurité me montra son insigne et nous demanda de le suivre avec Vaan. Arrivant à l'hôpital, nous avions remarqué que tout les services étais bouchés, tout les médecins occupés, des bléssés étais posés dans le couloir car il n'y avait pas assez de chambre. Je me suis demandé ce qui s'étais passé. Je prit la main de mon petit frère pour qu'il n'ait pas peur. Arrivé dans une salle de haute sécurité ou étais les bléssés travaillant pour la Kaiba Corp, nous avions aperçu notre père qui se réjouit de nous revoir, comme s'il nous avait pas vu depuis plusieurs années. Il nous expliqua dans la plus grande délicatesse que notre mère est morte lors du tremblement de terre et que c'étais dû à une explosion d'un réacteur où elle travaillais. C'est à ce moment précis que je prit Vaan dans mes bras et le séra très fort. Ce dernier comprit à la seconde puis se mit à pleurer à vives larmes. Ce que je fit également. Notre père, nous ayant suivi dans notre tristesse, prit la décision de quitter l'hôpital laissant sa place à d'autres plus bléssés que lui. C'est dans une voiture de la Kaiba Corp que nous sommes rentrés à la maison. Par manque d’appétit et par chagrain, à seulement quatre heures de l'après midi que tout le monde partit pleurer dans son coin sur son lit, attendant que le sommeil nous emporte. Ce matin, en nous levant, personne n'avais le moral. On pensais trop à notre mère. Cette journée c'est avérée très longue. J'ai également envoyé boulé le chat qui voulait juste manger de la pâté due à l'énervement de mon chagrin. Ayant vu que mon chat se senti "puni" je l'ai prit dans mes bras puis je me suis excusé en lui faisant un calin. Je n'ai pas envie d'écrire plus de ligne sur hier et aujourd'hui au risque de retomber dans mes larmes.

La suite demain.