Concour Hallowwen (fan fic)

Tout commence le sombre soir du 31 Octobre, une daté clé pour moi, car c'est en ce jour, au zénith de la lune d'argent, qu'il me sera révélé, la nature profonde et effrayante qu'on nomme la peur ...

Où suis-je? Que se passe-t-il? était les 2 questions qui résonnait dans ma tête en cet instant, il m'était déjà si difficile de me concentré sur ces interrogations, qu'autre chose m'interpellait, faisait écho dans mon esprit, une voix douce, mélodieuse et pourtant si direct et hypnotique, me murmurant, "suis-moi!".

Qu'aurais je fait pour apercevoir, la moindre parcelle de vie dans cette acalmie, car oui bourrasque, tempête ou je ne sais quoi avait dut balayer la plaine ou je me situés, j'entrapercevais grâce à la faible et mince lumière émise de la lune, une étendue de terre dévastait on y retrouvait, arbre déraciné, cadavre de soldat en armure brisé, chevaux de bataille éventré et ... non je ne pouvais en voir plus c'était un spectacle horrible.

De plus un son strident, émanait de la terre, un rire aigu, glacial et foudroyant qui me laissait là pantois , tenaillait par les prémices de la peur. Je me sentais incapable d moindre mouvement, et pourtant sans que le comprenne mon jambes se mirent en marche, semblant poursuivre le chuchotement qui nous ordonnait de le suivre.

Plus je m'engouffrait au loin sans vraiment de destinations, mon cœur s'emballait, des frissons violent me parcourant l'ensemble de mon corp, quand enfin je m'arrétà, je me retrouvais devant une porte gigantesque, j'étais que fourmi devant elle, ornait de toute part d'ossement, crâne, et de flamme noirâtre, ce passage suintait d'une odeur écœurante et de sang.

L'ensemble machiavélique s'entrevit et apparu alors une silhouette, qui reste dans l'ombre et prononçât:

"La peur n'est qu'un sentiment créé par les être faibles, tu es le seul à avoir franchit cette étape à ne pas avoir succombé, mais tu ne viens que de commencer, un voyage immensément long, tu va connaitre, ressentir et tu sera déchiqueter par la peur, si tu souhaites continuer ton voyage, mais ta récompense au final sera gigantesque, un pouvoir dépassant bien des frontière, tu sera récompensé par une épée légendaire "Darkness!", que choisit-tu franchis les porte de l'enfer au péril de ta vie, ou abandonne à jamais ton âme"

Mes idées était pas très clair déjà, dans ce brouillard d'incertitude auquel j'étais plongé, plus la paralysie complète de mon corp, je ne pouvais continuer, l'abandon était ma solution, pourtant une fois de plus j'entendit la voix "je t'es choisit viens à moi", a cet instant la terre se déchira des âmes s'en échappèrent, elles m'aggripérent et leur contact était comme celui du fer chauffé à blanc, je tendit le bras, mes doigt frôlèrent la poignée et pouf tout devin néant à part ce sentiment abyssal qui me gardait au froid dans ses vilains bras, ... la peur!

Tout commence le sombre soir du 31 Octobre 2013, une daté clée pour moi, car c'est en ce jour, au zénith de la lune d'argent, qu'il me sera révélé, la nature profonde et effrayante que l'on nomme la peur ...

Je m'appelle Kevin Flynn. Je travail dans un laboratoire de recherche sur la l'intégration de l'informatique sur la vie organique : Techno-Crescere. Ce laboratoire est au bord de la fermeture. Pourquoi ? Car les expériences qui y sont menées sont malheureusement trop dangereuses pour la vie humaine. En 2000, en transportant une substance destinée à améliorer la connexion des nerfs humains avec un de nos appareil, nous avions rayé le Nevada et ses habitants de la carte. La substance transportée était instable et cela provoqua une énorme explosion dont le cratère se nomme aujourd'hui "L'Oeil du Diable". Suite à cet accident, le laboratoire ferma mais fut ré-ouvert pour une raison inconnue des employés, sûrement un virement bancaire.

Aujourd'hui, la dernière optimisation de la substance de liaison Organique-Informatique est prête à être testée sur un être humain pour la première fois. Beaucoup plus stable, elle devrait être injecté sur le corp n°666 qui n'est plus entièrement humain... Cette femme, gravement blessée lors d'un accident de la route, fut transférée dans un hôpital, les médecins ne pouvaient pas empêcher l'inévitable... Mais nous travaillions sur un projet permettant de vivre unique avec les organes suivants: Le coeur, le système respiratoire et le cerveau. La blessé fut sauvée et vit maintenant dans un corps d'acier contenant les organes vitaux mais son bras gauche est encore organique. Maintenant, nous voulons intallé une sorte d'extension au cerveau pour but d'augmenter les capacités intellectuelles. le programme était concu de la sorte à ce que s'il y a un problème, il s'éteind.

Le début de l'injection se déroula pour le mieux, l'état du rythme cardiaque du sujet et de son cerveau n'était pas altéré. Une fois l'opération terminée, le réceptacle du produit s'évanouit. Cela ne devait normalement pas se produire ! Soudain, alors que nous tentions de la réanimer, elle attrapa le bras d'un chercheur, et le broya. Alerté, je me retournai pour voir d'où provenaient les cris exprimants une atroce douleur. J'aurai mieux fait de rester de dos à la scène épouvantable à laquelle j'assistait : la femme cyborg tua dans une effusion de sang mon collègue de travail. Un autre tenta de la maîtriser, mais il fut, à son tour, assiné aussi. Elle continua son massacre.

Je couru vers mon ordinateur portable pour comprendre pourquoi le sujet a eu cette réation non prévue et allla me réfugier dans la zone de sécurité, pièce conçue avec des murs dotés d'une résistance à toutes les  épreuves. En jetant un dernier coup d'oeil à la pièce du carnage, je vis une femme entourée d'un bain de sang tellement affreux qu'il me fit vomir après avoir verrouillé la porte, qui elle, était moins solide que les murs.

J'alllume mon ordinateur et relis le code source du programme. Il a été changé ! Son nouveau but est d'ordonner l'extermination du crime par la violence. A la fin du code, en commentaire, je peux lire: "A la personne qui lira ce code : ceci fut le prix payer pour la ré-ouverture de notre centre de recherches. Désolé."
mais pourquoi s'être attaqué à mes collègue ? Je pense que le terme de crime a été mal défini, le moindre dérapage doit être considéré comme un crime aussi important qu'un meurtre.

J'entends la porte qui commence à céder, je vous fait donc parvenir ce bref texte pour vous prévenir du danger que mène l'homme. Je préfère me suicider que de me faire massacrer par notre "création". Adieu !